Ntakarutimata

Alors oui que pensez vous de cette prof?

Sachez juste que c'est grâce aux SB ,et la je n'éprouve aucune fierté,qu'elle est partie...salle classe va

Bon soit elle a quand même donné plein d'heures d'études du à son incapacité d'enseigner dans une classe bruyante... alors qu'en fait elle fut calme

Hmm déjà c'est Ntakirutimana.. Mais bon, vu le nom y'a excuse..
Franchement, j'la trouvais sympa tant qu'elle ne donnait pas cours, mais à la fin elle saoûlait..
Mais elle n'est pas partie ! Elle a juste arrêté de donner cours aux SB.. & ensuite elle a remplacé Natami, abandonnant les élèves de Mombaerts à leur triste (aha) sort..

Vous parlez d'Eugénie?

Eugénie pour les intimes oui. On voit dans quelle catégorie tu es ^^

Délires avec Foudi! C'est tout.

aha buelens c est un marrant cui la
ouais finalement a part qu elle etait conne (non mais faut dire les choses comme elles sont c est vrai quoi elle comprenait meme pas un bete truc) on s amusait bien avec madame Eugenie ^^
la 4SB pire classe d'année en année

delire hein...?on te croit tous ^^

rhaa faut absolument, si ce n'est deja fait, que vous lisiez le ptit recap de cours de flo. hilarant.

si vous voulez le lire, il est sur mon blog et sur celui de co. Vous pouvez aussi le lui demander, j'imagine qu'elle l'a encore..

tient sparky, met le, ca ferait plaisir a tout le monde ^^

Voici le texte. Pendant un cours entier, j'ai pris note de tout ce qui se disait et se faisait. Donc, tous les dialogues sont authentiques. Le narrateur est évidemment hypra ironique. Prenez tout à l'envers en le lisant! Par ex, Y.B. ne faisait pas des remarques idiotes, au contraire.

Aperçu du cours de biologie des 5LS (année scolaire 2007-2008)

Attention! L'histoire qui suit est une histoire vraie! Âmes sensibles, s'abstenir!

Replaçons-nous tout d'abord dans le bon contexte: il est 8h00 (pas très exactement) et les élèves de la 5è Latin-Sciences viennent d'entrer dans le 43, leur bien aimé local de biologie. Leur professeur habituel, Mme M. s'étant cassé le pied quelques semaines plus tôt, c'est un professeur remplaçant qui leur donne cours. Ce nouveau professeur, empli de pédagogie, de connaissance et de bienveillance s'appelle Mme N. Avec beaucoup d'autorité, cette dernière est occupée à remplir la liste de présence pendant que les élèves, sages et respectueux, se taisent et écoutent avec recueillement la voix de leur professeur.

La liste de présence terminée (merci E.A. de l'avoir apportée ^^), le professeur se tourne vers sa classe et annonce de sa voix ferme et mélodieuse:

- Les changements représentatifs!

Aussitôt, les élèves fouillent leurs classeurs pour en sortir la bonne feuille. Ils sont tous prêts à assister et à participer à un cours qui sera très certainement passionnant et inoubliable.

Vous qui n'avez pas la chance d'avoir comme professeur cette Mme N., sachez que les changements représentatifs sont les changements subis par l'embryon au cours de son développement. De la formation des organes aux changements de taille et de forme, Mme N. transmet aux élèves tout son savoir sur le sujet.

Le professeur se dirige alors vers le tableau et y inscrit, dans sa belle écriture ronde: « naissance à terme – prématurée » (l'orthographe, c'est important).

Le paragraphe suivant est consacré à l'ambivalence sexuelle. Mme N., dans sa grande pédagogie, demande à la préposée à la liste, E.A., ce qu'est justement cette ambivalence.

Chaque élève de la classe, dans une grande connivence, pense la même chose: « Eh bien on ne sait pas, on est là pour apprendre, non ? »

Le début du paragraphe est finalement lu par E.A. et tout s'éclaire dans l'esprit des jeunes élèves avides de connaissance. Enfin presque.

- Qu'est-ce que la médula? demande alors C.C., une future géologue.

- Nous l'avons vu dans la vidéo, voyons! répond immédiatement Mme N., outrée qu'une élève ne sache pas cela (chacun des autres élèves de la classe en connaît bien évidemment la définition).

- Mais on n'a pas tous vu la vidéo, font remarquer les sœurs B. dans un souci d'équité.

Une autre élève entre alors en scène. N.M. clame haut et fort:

- Madame, c'est vrai, on n'a pas vu la vidéo! Vous nous empêchez d'accéder à la Connaissance! (on sentait bien le « C » majuscule dans sa voix).

Mme N. balaie cette intervention de la main. Elle fait signe à E.A. de reprendre sa lecture interrompue. L'élève s'exécute immédiatement et avec beaucoup d'emphase, elle continue la lecture du paragraphe.

Une lueur de compréhension flottant dans les yeux de tous les élèves, Mme N. décide de ne pas faire la fin du paragraphe: Ses élèves sont si merveilleux qu'elle leur en « fait cadeau » (dixit).

Elle regarde alors sa classe avec appréhension. Et si, finalement, ils n'avaient pas compris? Très pédagogiquement, elle leur demande à chacun, l'un après l'autre, par ordre alphabétique, s'ils ont des questions.

Un élève dont le nom nous est malheureusement resté inconnu, en pose une au sujet de l'ambivalence sexuelle. Mais le professeur refuse d'y répondre, puisque ça n'est absolument pas dans la ligne du cours. (Pour qui ils se prennent, ces élèves?).

Un autre est très préoccupé par la question du liquide amniotique. Dévoilant ainsi une parfaite maîtrises de références « littéraires » classiques, une élève murmure:

- Comme dans Desperate Housewives...

Mme N. revient au chapitre précédent, pour vérifier les connaissances en vocabulaire de sa classe:

- Quelqu'un sait-il ce qu'est le lanugo?... Quelqu'un a-t-il un dictionnaire?

La question du lanugo, duvet qui recouvre le corps entier du fœtus à un moment bien particulier de la grossesse est résolue, et le cours continue. (Votre dévoué auteur n'a pas envie d'aller chercher le mois exact – eh bien oui, ses feuilles de bio sont tout en haut et elle estime que vous survivrez très bien en ne sachant pas quand apparaît le lanugo).

Un élève pose alors une question incroyable de par son audace, une question qui est tabou depuis le premier cours de biologie de l'humanité...

- Que sont les canaux de Wolff?

Mme N., outrée, refuse fermement d'y répondre. Elle enchaîne sur la parthénogenèse (reproduction à partir d'un ovule ou d'une oosphère non fécondés). Pour que les élèves comprennent bien, elle donne un exemple: Les abeilles (ou hyménoptères, z'aurez appris un mot au moins. Cela compensera le lanugo).

Il est du devoir de l'auteur de signaler qu'à ce point du cours, il y eut un énorme quiproquo. C.H. (était-elle vraiment attentive?) avait cru entendre « abbaye ». Il est évidement que dès lors, l'exemple ne tenait plus la route. Une de ses amies essaya de trouver une explication à l'exemple erroné:

- Eh bien oui (logique!). Les moines ils savent rien faire entre eux et donc... (grand sous-entendu).

L'erreur est toutefois rapidement corrigée.

C.H., pour être certaine d'avoir bien compris, pose une dernière question:

- La parthénogenèse, ça n'est donc pas pour les humains?

Mme N. acquiesce silencieusement. Mais une autre question difficile se pose:

- Et Jésus, il est né comment alors? demande C.C.

Très consciente de son devoir de professeur, Mme N. répond d'une voix douce:

- Cela dépend de vos croyances...

O.D. intervient alors à mi-voix, mystérieux: « Jésus est Juif... »

M.N. reprend alors les choses en main à sa manière en racontant une petite anecdote véridique.

- Ils ont fait des analyses à Aqualibi et il paraît qu'il y a du sperme dans l'eau. C'est possible que ce soit fécondant?

- A ton avis? répond le prof.

- Eh bien je ne sais pas: je demande.

Mme N. s'adresse alors à toute la classe:

- Vous en pensez quoi, vous?

Des murmures se propagent dans toute la pièce.

Mme N., d'une voix plus forte, explique patiemment:

- Il y a la dilution. Dans un grand bassin comme ça, une goutte...

Y.B. intervient alors:

- Y'a pas qu'une goutte, Madame!

Mme N. ignore Y.B. et continue:

- Eh puis, c'est parfois une excuse que les filles qui tombent enceintes se trouvent...

L.R., en accord à 200% avec le professeur, laisse échapper un profond « hun hun... »
Puis, elle parle et tout le monde l'écoute. Elle raconte que là-bas, dans un pays lointain et magnifique, une petite fille est née avec 4 bras et 4 jambes « parce qu'elle avait absorbé son frère jumeau ! ».

Mme N. rectifie immédiatement:

- Non, non... Ses cellules ont du se diviser trop activement, voilà tout (eh bien oui, c'est tout à fait naturel).

[Rem: Ce genre de cas résulte bel et bien de l'absorption d'un jumeau et non de la "division active" de cellules... -_-']

Une voix s'élève:

- Y'en a qui naissent avec 11 orteils...

Mme N. intervient et tempère:

- Ca, ça n'est pas grave! On va pas couper l'orteil.

- Parce qu'à cette pauvre fille on va lui couper les bras et les jambes en trop? (l'élève qui a dit ça ne sera certainement pas chirurgien).

L.R., sérieuse et intéressée, demande:

- On peut marcher avec 4 jambes?

Y.B. ajoute alors une remarque profondément idiote:

- Le cerveau humain n'est pas apte à diriger 8 membres! (pff... n'importe quoi, vraiment!)

C'est au tour des sœurs B. de poser une question (les sœurs B. n'ont rien à voir avec les moines de tantôt).

- Et les bébés qui naissent avec de l'eau dans le cerveau?

- On ne sait pas, répond le prof.

Dans un souci de justice, les sœurs B. demandent:

- Vous ne savez pas ou les scientifiques ne savent pas?

A ce moment, l'auteur se doit de faire part de son ébahissement face à un tel manque de respect vis-à-vis d'un professeur super compétant. Vous vous prenez pour qui, les jeunes? Surtout toi, là! Oui, toi, le grand garçon au premier banc! Ca te fait rire? O tempora o mores... Jeunesse irrespectueuse.

Mme N., dans sa grande bonté, répond calmement et sans s'énerver que ce sont probablement des cellules qui se sont mises à produire de l'eau ou un autre liquide.

La conversation s'oriente alors sur les risques de boire alors qu'on est enceinte.

- Le bébé dans le ventre, il peut devenir alcoolo ou dépendant avant de naître? demande N.M.

- Je suis née droguée, fait stoïquement remarquer Y.B.

Mme N. passe alors à un autre sujet. Elle a l'intention de parler de la naissance:

- La naissance à terme..., commence-t-elle.

Son œil d'aigle se pose alors sur un élève inattentif (pauvre de lui...).

De sa voix sévère, elle demande simplement:

- A.D., qu'est-ce que j'ai dit?

L'élève prit en faute, tente de se justifier avec une excuse bidon:

- ...... J'ai pas entendu parce que N.M. parlait!

Il avait choisi le nom de la première élève qu'il voyait et malheureusement, personne ne connaissait la voix de cette dernière (elle ne parlait jamais).

L'œil du professeur étincela.

Une voisine, très discrètement, murmura: « La naissance à terme... »

A.D. répondit à Mme N.

- On parlait de la naissance à terme...

Mme N. ne passa pas outre et reposa sa question:

- Qu'est-ce que j'ai dit?

La voisine qui avait soufflé rétorque:

- Il l'a dit, Madame! Il est juste... timide.

Le professeur laisse échapper un rire sans joie qui glace le sang des élèves chahuteurs.

- Il interrompt en étant timide?... Heu, c'est bien toi, 'A.D.'?

M.N. place alors dans la conversation une remarque judicieuse:

- Mais... QUI est vraiment A.D.?

[... SILENCE ...]

Le calme ainsi rétabli dans la classe, Mme N. fait signe à une des sœurs B. de lire le paragraphe suivant.

La sœur B. s'applique énormément. Malheureusement, le passage est d'une rare difficulté et, lorsque la sœur B. demande à ses condisciples s'ils ont compris, ces derniers répondent « non ».
La jeune fille, généreuse, veut expliquer, mais le professeur l'interrompt:

- Non, on lit et on parle après...

Un « Mais! » s'élève, poussé par M.N.

Mme N. intervient, mécontente:

- Tu ne sais pas rester 1/4 d'heure sans parler?

Y.B. intervient une nouvelle fois, avec une nouvelle remarque, ô combien idiote:

- Parler est le propre de l'homme.

Mme N., qui souhaite qu'on reprenne la lecture de la suite du paragraphe, dit fermement:

- Bon. Mais on laisse quand même parler.

M.N., incapable de se retenir, laisse de nouveau échapper un « Mais ! ».

Mme N. demande d'une voix exaspérée (les élèves l'ont vraiment cherché, il faut beaucoup pour l'énerver, cette prof!):

- A la maison, tu parles aussi tout le temps?!

L.R. choisit ce moment pour intervenir à nouveau:

- C'est ma sœur, cru-t-elle utile de souligner...

Attaquant le prof sous un autre angle, M.N. demande simplement:

- Ca veut dire quoi, « inhiber » ?

[...SILENCE...]

- « Empêcher », répond finalement Mme N.

Eh béh! C'est joliment scribé. (on reconnaît bien le tempérament de Y.B. (par N.M. …)) Ça a quand même l'air assez calme vos cours. Chez nous, on n'avançait pas de plus d'un paragraphe. Le plus drôle, c'est qu'une fois je n'avais pas fait un devoir en chimie, je l'ai fait au début du cours, elle m'a vu et m'a dit "de la chimie?". J'ai répondu posément:"bien sûr, vu qu'on ne fait quand même rien, autant s'occupper intelligement" (un ou deux m ?). Et c'est là qu'elle a dit quelque chose d'incroyable: "je ferais la même chose si j'étais à ta place".
Nanmého, c'est qui la prof??

C'est qu'elle écrit vraiment bien Sparky ! Hm, c'est au moins la 10ème fois que je lis ce texte, mais à chaque fois ça me fait marrer (& j'avoue qu'à chaque fois je me casse la tête pour trouver à qui appartiennent les initiales aha).

xD moi aussi!

et merci d'avoir precisé que je ne suis pas bete haha, les gens auraient pu ne pas comprndre..

et cmt ca, on reconnait bien le caractere de y b ..?

Ah oui je l'ai déjà lu sur un blog....hmm..nous c'était autre choses...elle avait vainement essayé de dessiner un fucus...mais..il était tellement mal fait qu'elle a demandé à un élève de le dessiner vu que lui protestait du fait qu'on ne voyait rien..après un beau schéma qui vaut les annales de l'école madame N. a malicieusement pris l'éponge et a effacé le schéma avec toutes les indignations qui suivirent....

La guerre fut déclarée...et on l'a gagnée

Une fille d'ma classe avait proposé de donner le cours sur l'euglène en espagnol.. On était assez motivés, étrangement N. n'a pas eu l'air très concernée.. Bah. Le p'tit médaillon qu'elle porte, y'a des anges dessus vous saviez ? Well.. J'ai pas pu avoir plus d'explications because of sa conscience de prof aha.. Pas raconter sa vie aux élèves..

hmm...mr key****** tu connais?

ZOBIII LA MOUUUUCHE

Aaaah, la vieille Ntakirutimana, il m'est arrivé de la recroiser dans le tram
La pire prof que j'ai jamais vu (je parle niveau de culture bien entendu, la pire dans sa cathégorie)

je pense que j'ai fait preuve du plus grand manque de respect envers elle en lui demandant si elle avait bel et bien optenu un diplome d'enseignant ( elle m'a répondu oui, elle n'as pas du saisir l'ironie de ma question, bref, passons

Sinon Yavais Gerard en géo aussi... la pauvre, elle avait vraiment envie de nous apprendre des trucs, mais yavais tellement d'autre chose à faire pendant son cours, se prendre pour Sam fisher et tenter de s'eclipser discretement en plein milieu d'un cours et étant situé à l'extrème opposé de la porte, s'il lis ceci, il devrait se reconnaitre, n'est ce pas le fou?

4SB, la classe la plus... emmerdante à l'époque il me semble, seigneur, comment t'as fait pour supporter Guzimtar 2 ans de plus Prise?